Pour y arriver, on a mené une démarche rigoureuse. On a sondé une quinzaine d’États aux É.U, questionné toutes les provinces de l’Ouest du Canada, eu des dizaines de discussions avec les revendeurs Princecraft au Canada et aux É.U. On a rencontré des concessionnaires, eu une quinzaine de réunions avec des comités, passé plus de 30 heures à naviguer avec des plaisanciers et même fait un tour dans 4 salons nautiques à Montréal, Edmonton, Sherbrooke et Trois-Rivières. Pendant 3 mois, on a aussi décortiqué plus de 1 200 publications Facebook dans des groupes de propriétaires de bateaux, histoire de comprendre comment les gens parlent de leur propre embarcation et de celles de leurs voisins.