On a choisi de parler à ceux qui voient déjà une partie du problème. D’un côté, les personnes directement ou indirectement touchées par un handicap, qui comprennent les obstacles. De l’autre, les acteurs du milieu du loisir, qui reconnaissent les freins d’un système encore trop rigide. Ces deux groupes ont un point commun : ils voient les obstacles. Notre pari : leur montrer que ça bouge déjà. Avec des initiatives concrètes, des outils accessibles et un message positif, on les invite à embarquer. Parce qu’offrir un loisir accessible, ce n’est pas un concept flou — c’est du concret, sur le terrain.